La grande Kady Diarra revient en famille pour brûler les planches avec un 3ème album incandescent ! Dans un esprit de célébration partagée, elle nous offre un condensé d’humanité(s) qui plonge ses racines dans le coeur de l’Ouest africain, entre cultures plurielles et humanisme mondialisé.
Des concerts de transe douce où se tressent les engagements de cette femme aux mille visages et son sens incomparable de la fête ! Au-delà des cinq langues de cet album : le message universel
portée par une voix et une personnalité hors du commun…Et des musiciens soudés à ses énergies !
Nouveau spectacle et nouvel album en 2021 – Disponible toute l’année.
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Depuis de nombreuses années elle écrit ses chansons et souhaite les faire partager au plus grand nombre.
En 1998, elle s’entoure des musiciens de sa famille, qui mettent en musique son répertoire dans une veine traditionnelle et commence à tourné en Afrique. Dés 1999 elle vient jouer en Europe ou sa voix, sa présence et son énergie scénique séduiront un public friand de cette musique traditionnelle, joyeuse et tellement naturelle.
Depuis 1999 Kady Diarra a un pied au Burkina et l’autre en Europe, elle travaille régulièrement en France et transmet l’art de la danse à travers des stages et des master-class.
Durant l’été 2000 elle sort son premier CD 4 titre « Faso Bara » qui lui permettra de se produire dans de nombreux festivals, cafés-concerts et services culturels.
En février 2002 elle rejoint la formation jazz du pianiste allemand Jasper Van’t Hof, PILI-PILI, comme choriste. Elle part pour une tournée de 20 dates en Allemagne et en Autriche.
Pendant l’été 2002 après une tournée française, ou elle croisa la route de Youssou N’Dour au festival New Bagnols Blues et de Salif Keïta à l’auditorium de Lyon, elle enregistre son premier album, sortie en mars 2004 chez playasound.
En 2004, après avoir intégré Harouna Koïta, ancien guitariste et clavier du groupe Farafina, à ses musiciens, elle s’est produite une centaine de fois pour assurer la promotion de son album.
En 2006, suite au durcissement des conditions de circulation des artistes africains Kady est contrainte d’annuler la venue de ses musiciens, et comprend alors qu’il sera difficile pour l’avenir de continuer à les faire venir. Elle se tourne alors vers des musiciens installés en France.
Durant deux ans, forte de toutes les expériences musicales qui l’ont traversées elle travaille à faire évoluer son répertoire, avec de l’aide du guitariste Franck Mercier, à partir d’une base traditionnelle en y incluant des sonorités plus propres à l’occident (ballade folk, skank reggae, ou tourne afro beat) pour une fusion à la fois moderne et empreinte du respect de sa tradition musicale.
En 2008 Lamastrock lui propose de produire son deuxième album en lui donnant les moyens de ses ambitions. Les enregistrements débutent en décembre 2008 au studio la Cigogne de Bourg de Péage sous la houlette de Philippe Valdés. Plus de 15 musiciens y participent. Les amis et la famille venue d’Afrique Adama Dembélé, Paul Sidibé, Solo Dembélé, karamoko Koné, Lassina Coulibaly, Marléne N’garo, Aissa Cissoko pour exprimer leurs racines musicales et les amis musiciens franç̧ais, Franck Mercier, René Lacaille, Olivier Kikteff, Marc André Leger, Kamel Mazouni, Yann et Renaud Paulet, Christophe Begaud, Mathieu Desvignes pour créer cette fusion qui lui tenait à coeur.
Dans ses textes Kady fidèle à la tradition des griots joue son rôle social et conseille ses frères et sœurs africains pour leur vie quotidienne, leur donne espoir dans l’avenir et rend hommage à ses ancêtres ainsi qu’a toutes les personnes qui compte pour elle.
Kady souhaite, avec cette album, qu’enfin la musique du Burkina Faso trouve sa place auprès du grand public et que la joie et la géné́rosité́ de son peuple se ressentent à travers elle.
Lamastrock, passe un accord avec le label Playasound pour une commercialisation internationale à partir de septembre 2009. Disponible avec harmonia Mundi pour la France. Lamastrock produit également la tournée promotionnelle qui s’en suivra.Disponible avec Harmonia Mundi pour la France, l’album est très bien accueilli par le public et la presse. Kady le défendra durant deux ans avec pas moins d’une centaine de concerts, en Europe et au Burkina Faso, où l’album est nominé au Kundé D’or (équivalent des Victoires de la musiques), dans la
catégorie meilleur album burkinabé produit à l’étranger. Après quelques escapades en solo sur d’autres projets en 2014-2015 (NMB Afrobeat expérience, le bal de l’Afrique enchantée, Electro Bamako…), Kady est contrainte de s’éloigner de la scène pour des raisons de santé.
En 2017, elle rentre au Burkina pendant plusieurs mois pour se soigner. La situation politique au pays des hommes intègres est en pleine ébullition. La société civile a déchu le président Blaise Campaoré au pouvoir depuis 25 ans et un grand vent d’espoir secoue le pays. Ces espoirs sont vite perdus dans un contexte sociale qui se tend sur fond de manigances politiciennes et de l’arrivée des terroristes dans le nord du pays. Kady est présente à Ouagadougou, non loin des attentats qui secouèrent la capitale en août 2017. Choquée par ces attaques et les conséquences désastreuses en termes économique et touristique pour son pays, Kady a mal pour son peuple. Elle reprend goût à la musique et au message qu’elle doit passer. Elle compose de nombreux morceaux sur cette situation. De retours en France, le festival Ingénieuse Afrique de Foix la nomme marraine pour son édition 2018. Kady rappelle ses musiciens et remonte sur scène pour la première fois depuis 3 ans. Le public est au rendez vous et les sensations sont revenues.
En 2019 Kady Diarra travaille ses nouvelles compositions entourée de ses neveux Moussa Koïta (Basse, percussions), Mamoudou Diarra (Balafon, N goni, percussions), Samba Diarra (Flûte, percussions) etdu guitariste Thierry Servien. Attitré des groupes Africains à Paris (Mory Kanté, Papa Wemba…), Thierry Servien a un sens des polyrythmies africaines incomparable. Ses envolés jazz rock, soutenues par la
puissance de la section rythmique (basse percussions balafon) forme un tapis musical où la voix de Kady s’exprime de très belle manière. À l’heure où les musiques africaines s’urbanisent perdant souvent en groove et en émotions, Kady, ancrée dans la tradition musicale qui l’a vue grandir, garde les instruments traditionnels(Balafon, N’goni) et s’inspire des mélodies chantées par sa grand mère et sa mère lors des cérémonies dans les villages Bwaba de l’ouest du Burkina. Mais elle et ses musiciens continuent de creuser le sillon de cette fusion où la musique traditionnelle ouest africaine est magnifiée par des arrangements énergiques et influencée par les musiques noires américaines.
En janvier 2020 Kady Diarra, avec Lamastrock comme producteur, créer un nouveau spectacle en partenariat avec La SMAC 07 à Annonay et Châteaurouge à Annemasse, et enregistre son nouvel album pour une sortie le 2 avril 2021.